mercredi 30 octobre 2013

Surpopulation planétaire - Problématique réelle

Dan Brown, l'auteur du Code Da Vinci et du Symbole perdu nous revient cette année avec une nouvelle problématique susceptible d'en faire réfléchir plus d'uns. Le roman Inferno aborde la problématique de la surpopulation mondiale et contient bon nombre de pistes de recherches pour encourager le lecteur à poursuivre sa réflexion. Par ailleurs, à mon humble avis, Inferno, comme écriture, n'a pas la force du Symbole perdu, qui demeure, jusqu'à maintenant mon reman préféré de l'auteur Dan Brown.
Dans ce livre Brown a beaucoup utilisé la technique "déguisements" des peronnages (faire croire aux lecteurs, par des subterfuges de style, que tel personnage ou tel événement comporte des caractéristiques qu'il n'a pas) afin d'accroître le suspens et réserver aux lecteurs une surprise plus "punchée". Il est vrai qu'il s'agit d'une marque de commerce de Dan Brown, mais cette brique de 568 pages, édition française, aurait pu être réduite du tiers et apporter aux lecteurs la même information sans affecter négativement l'histoire.
Je demeure fascinée par l'audace qu'a Dan Brown d'aborder des thèmes relativement occultes et d'en faire un produit de consommation et d'éveil public. S'il avait choisi de traiter la problématique de la surpopulation planétaire dans un document de type "essai", il est fort probable que peu de gens "ordinaires" auraient voulu lire le produit de ses réflexions. Brown rend l'éveil possible en traitant de thèmes sérieux sous le couvert d'une fiction. Il appartient aux lecteurs de faire la part des choses, de ne pas en rester "là", et de se confronter personnellement à ses propres croyances et à ses connaissances objectives dans le domaine.

dimanche 4 août 2013

La PNL à ma façon. Éloge à mes tantes


Cette définition est issue de Wikipedia: "La programmation neuro-linguistique (acronyme français : « PNL ») est un ensemble coordonné de connaissances et de pratiques dans le domaine de la psychologie fondées sur une démarche pragmatique de modélisation, en ce qui concerne la communication et le changement. Elle a été élaborée par Richard Bandler et John Grinder dans les années 1970, aux États-Unis.

Je n'ai pas l'intention d'élaborer ici sur ce qu'est ou ce que n'est pas la programmation neuro-linguistique. J'espérais trouver, sur le Web, un court texte explicatif afin de donner un cadre de référence à ma réflexion, mais je n'ai pas trouvé. Je cherchais des mots ordinaires pour des gens ordinaires, mais il semble que le concept ne puisse se définir que par des mots et des phrases relevant d'une certaine abstraction intellectuelle. Le blogue que j'écris est dédié à Monsieur et à Madame tout-le- monde qui désire en apprendre un peu plus sur les outils disponibles susceptibles d'aider à une ouverture de conscience spirituelle, à une évolution vers une fréquence vibratoire plus élevée et à une guérison de l'âme et du corps qui pourrait résulter de tout ce processus de changement. Je suis consciente que, quelques fois, je n'arrive pas à choisir les mots justes pour décrire ma pensée, mais dans la mesure du possible, mon objectif est d'amener une information pratique et compréhensible.

Il y a dans la PNL un aspect qui m'interpelle particulièrement et c'est ce qu'on est sensé nommer "représentations sensorielles et vécu subjectif"; il y a là une richesse d'information à la base de qui l'on est. Cette information nous apporte les matériaux nécessaires pour nous aider à effectuer un travail en profondeur sur notre Être en évolution.

Extrait de Wikipédia`: "Les concepteurs de la Programmation Neuro-Linguistique considèrent que nous nous construisons notre représentation du monde au travers de nos cinq sens et que c'est au travers de ces représentations sensorielles que nous mémorisons nos vécus subjectifs. Ils ont donc cherché à formaliser des techniques d'explicitation pour observer, questionner et faire prendre conscience au sujet de ses représentations mentales.

Il y a plusieurs années, j'ai eu l'occasion d'expérimenter cette thérapie - quelques sessions seulement - et un des exercices intéressants consistait en la fixation en un point corporel d'une mémoire positive reliée à un événement heureux et permettant un rappel à volonté d'un bien-être vécu. Pour les personnes en dépression ou autres qui peinent à se raccrocher au dynamisme de la vie, il y a dans cet exercice une clef possible pour déclencher le retour souhaité vers des jours meilleurs.

Similairement, je me sers de moments marquants dans ma vie pour retrouver en moi la fréquence vibratoire de la joie, de la fierté, de la dignité, etc., des fréquences qui, j'en suis certaine, permettent à mes cellules de recevoir un message de vie, un rayon de soleil, une bouffée d'air. Je disais dans un blogue précédent que nous ne sommes pas seulement des êtres humains, mais aussi des êtres spirituels, voire des êtres quantiques dont toutes les parties communiquent entre elles et avec le Tout. Souvenons aussi que le ressenti est le langage que l'âme utilise pour rejoindre notre être conscient.

Mes tantes, aujourd'hui toutes décédées, ont été pour moi une source d'inspiration, un réservoir de paroles, de gestes et d'actions dont j'ai, jusqu'à un certain point, absorbé l'essence. Il arrive qu'une personne nous ait marquée, mais dans mon souvenir à moi dans ce présent contexte, ce sont toutes mes tantes biologiques du côté maternel et quelques-unes par association avec des oncles biologiques qui m'ont laissé leur marque, toujours intacte, même après tout ce temps.

Germaine, la seule célibataire de la famille, institutrice de profession, avait le don de se retrouver toujours au bon endroit au bon moment, là où on avait besoin d'aide ou de présence particulière. Toujours souriante, elle apportait réconfort tout en étant capable d'accomplir toutes tâches nécessaires selon les circonstances. Tous l'ont considéré comme un ange de lumière "planté" dans la famille pour veiller au bonheur des siens. Jamais je n'ai entendu personne médire ou calomnier au sujet de Germaine. Une vibration angélique dont le souvenir est bien imprégné dans mes cellules.

Éva, l'ainée, née en 1902, a été avant-gardiste et femme de volonté qui s'est frayée un chemin digne de mention. D'abord secrétaire et ensuite institutrice, elle a par après obtenu son diplôme d'infirmière. Férue de musique classique, elle a enregistré, avec sa soeur Germaine, un disque d'opéra. Comme la plupart de mes tantes, elle jouait du piano. Elle a publié de sa poésie et de sa prose dans les journaux de l'époque. Elle a beaucoup voyagé, ajoutant ainsi à sa culture apprise, une expérience de terrain lui permettant de nous entretenir de sujets artistiques, religieux ou autres de façon personnalisée. Elle a appris la photographie et a accumulé des centaines de diapositives et de photos de plusieurs pays au monde, chacune étant classée et identifiée pour permettre une présentation dynamique et intéressante. Tante Éva parlait couramment l'anglais et le français et se débrouillait bien en espagnol et en italien. Elle possédait sa voiture et se déplaçait d'un endroit à l'autre avec grande aisance. Lorsque je pense à tante Éva, je ressens fortement la capacité d'accomplissement, la variété des plaisirs de la vie, le courage "d'être" malgré les possibles obstacles de toutes sortes.

Quelques-unes de mes tantes faisaient partie de l'Association des femmes canadiennes-françaises de l'Ontario. Elles militaient pour le fait français, dans cette province fortement majoritaire anglophone: faire en sorte que les institutions francophones le demeurent, afin d'éviter l'assimilation possible et inciter les institutions strictement anglophones à s'ouvrir vers un bilinguisme fonctionnel afin d'assurer de meilleures chances de formation et d'emploi aux francophones. Ces femmes militaient aussi pour le rôle des femmes dans la société, faisant valoir l'importance de leur présence dans tous les secteurs, et pas seulement dans les secteurs de services. Je nomme particulièrement Aldina, Léda, Rolande et Thérèse, sans oublier Germaine bien sûr. Lorsque, jeune fille, je les entendais discuter entre elles des sujets de l'heure, l'importance de l'implication personnelle dans une cause, était évidente.

D'autres ont laissé des marques des liens intrinsèques vitaux entre l'humain et la musique. Le piano, instrument de prédilection de la famille, tante Thérèse était devenue l'organiste de la paroisse tout en donnant des cours de techniques et de chant à la maison. Dans une autre ville pas très loin, tante Irène chantait à toutes les grandes messes (catholiques) ainsi qu'aux funérailles. Et lorsque enfants et adolescents, nous débarquions chez l'une ou chez l'autre, nous nous ramassions tous autour du piano et chantions ensemble ce qu'elles nous apprenaient. Quel bonheur!

Tante Rolande, bien que musicienne à ses heures, a opté pour la lecture et est devenue bibliothécaire de sa petite ville. Tante Gloria, de descendance amérindienne en partie, s'est intéressée aux herbes médicinales et aux remèdes-maison et en a aidé plus d'uns avec ses conseils judicieux. À une époque où peu de femmes faisaient des études supérieures, elle a obtenu un baccalauréat tout en assumant sa carrière d'institutrice au niveau secondaire de l'école de la ville.

Toutes ces femmes avaient constamment des projets dans leur collimateur et des réalisations concrètes à leur actif. Cette vibration de créativité sans fin, soit stimulée par un besoin précis ou simplement par plaisir, témoigne d'un dynamisme et d'un lien avec la vie, qui m'épate et m'interpelle.

Et lorsque je dis que je fais de la PNL à ma façon, c'est que fais référence à mes sens pour qu'ils remettent en circulation dans mon organisme ces différentes vibrations qui redeviennent semences à chaque fois. Ce "vécu subjectif" fortement positif, a intérêt à être mis en exergue prenant ainsi de plus en plus de place et par ce faire en laissant de moins en moins à d'autres expériences vitales moins heureuses.

dimanche 28 juillet 2013

L'implication de la jeune pakistanaise Malala Yousufzai

Le texte qui suit n'est pas écrit par moi. Il s'agit d'une reproduction de l'éditorial de Pierre Bergeron, publié dans le journal Le Droit samedi le 27 juillet. Il fait état de l'implication de Malala Yousufzai dans la défense du droit à l'éducation pour tous les enfants du monde.
 
"Au moment où le pape François préside les Journées mondiales de la jeunesse à Rio de Janeiro, au Brésil, le monde entier résonne encore du discours percutant et passionné que la jeune pakistanaise de 16 ans, Malala Yousufzai, a prononcé il y a deux semaines devant les Nations unies. Nullement en opposition, leurs messages se rejoignent par leur vision d'avenir et leur appel au changement.
Les mots peinent à témoigner de la force et de la détermination de cette jeune femme attaquée dans son autobus scolaire par des talibans qui voulaient la faire taire pour qu'elle cesse son combat pour le droit des jeunes filles à l'éducation. Elle a miraculeusement survécu à cet attentat et a entrepris une longue convalescence dans un hôpital britannique.
Beaucoup plus qu'une vedette, elle est le témoin engagé dans sa chair et dans son esprit pour la cause de l'éducation auprès des grands de ce monde.
En remettant une pétition de 330 000 noms au secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, elle a formulé une invitation ferme à « défendre le droit à l'éducation pour tous les enfants. »

« Nous voulons des écoles et de l'éducation pour offrir un avenir lumineux à chaque enfant. » Elle a donné un appui sans réserve à l'initiative « L'éducation d'abord » lancée le 26 septembre avec les objectifs très ambitieux de scolariser chaque enfant, d'améliorer la qualité de l'apprentissage et de faire naître une citoyenneté mondiale dans un monde orienté vers la durabilité et la paix.
La jeune Malala a eu des mots très durs, mais combien justes, en affirmant que les talibans « pensent que Dieu est une toute petite personne conservatrice qui enverrait des filles en enfer parce qu'elles sont allées à l'école. »
Elle a conclu son vibrant discours par ces mots presque prophétiques : « Un enfant, un enseignant, un stylo et un livre peuvent changer le monde. L'éducation est la seule solution. »
On remarquera également le ton profondément religieux du discours de Malala Yousafzai. Elle commence son allocution « Au nom de Dieu, le tout miséricordieux, le très miséricordieux. » Elle affirme qu'elle n'est pas « non plus ici pour parler en termes de vengeance personnelle ».
Dans son allocution, elle parle de la « compassion que j'ai apprise de Mohammed, le prophète, de la miséricorde, que j'ai apprise de Jésus-Christ et de Bouddha. C'est l'héritage du changement que j'ai hérité de Martin Luther King, de Nelson Mandela et de Muhammad Ali Jinnah. C'est la philosophie de la non-violence que j'ai apprise de Gandhi Jee, de Bacha Khan et de Mère Teresa. Et c'est le pardon que mon père et la mère m'ont appris. Et c'est ce que mon âme me dit, soit pacifique et aimant pour tout le monde. »
Espérons que son témoignage vaudra à la jeune Malala Yousufzai le privilège de recevoir l'an prochain le prix Nobel de la paix. Elle en serait non seulement une digne récipiendaire, mais aussi la première jeune à se voir ainsi honorée au nom de « chaque femme, de chaque garçon et de chaque fille qui ont élevé la voix pour leurs droits. »"

Au delà de ce témoignage devant les Nations-unis et de la pétition déposée, cette jeune fille démontre une force de réflexion et d'action bien au-delà de ce qu'on a l'habitude d'entendre et de voir chez les jeunes gens de cet âge et à vrai dire des adultes en général.
Elle a retenu des enseignements religieux et des messages des leaders sociaux, la substance éthérée qui les relient et qui portent vers une transformation des mentalités sectaires. C'est de fait, la seule façon d'en arriver à créer un monde différent, une planète et une humanité qui vibreront à une fréquence plus élevée.

dimanche 16 juin 2013

Lorsque le contrôle n'a plus sa place. Anecdote tiré d'un film.


Le film Monsieur Schmidt, E.U. 2002. Comédie dramatique d'Alexander Payne avec Jack Nicholson. Synopsis: peu après avoir pris sa retraite, un actuaire perd subitement sa femme puis tente d'empêcher sa fille d'épouser un incapable.

Ce film pour lequel la critique varie de "ennuyeux" à "génial", m'a beaucoup plu. Le personnage, Warren, qu'incarne Jack Nicholson est plutôt introverti, mais le cheminement psychologique est d'une logique linéaire transparente.

Warren va tous les jours au travail de façon robotique, accomplit avec compétence et fierté ses fonctions d'actuaire. Le jour de la retraite sonne; il range son bureau, met les documents importants dans des boites bien identifiées afin de faciliter le travail de son successeur et il rentre chez lui.

Le lendemain, ne sachant quoi faire, il refait le même trajet qu'à l'habitude, se retrouve devant son lieu de travail, entre et se dirige vers son bureau. Il constate alors que son jeune successeur a déjà pris possession des lieux, ses photos de familles et encadrements préférés déjà suspendus au mur. Celui-ci le reçoit poliment; Warren lui offre de se rendre disponible au cas où il aurait besoin de son expérience pour mieux accomplir ses tâches. Sans arrêter de sourire mais quelque peu impatient, le jeune professionnel regarde sa montre et se souvient qu'il est attendu impérativement pour un rendez-vous. Il souhaite une "Bonne journée" à Warren et s'esquive. Celui-ci n'a aucun autre choix que de s'en aller. Au passage, il remarque que ses boîtes contenant, selon lui, les documents essentiels pour faciliter le travail de son successeur, ont toutes été mises au recyclage.

C'est le VIDE.

À la maison, son épouse s'occupe comme à l'ordinaire de l'entretien de la maison et de toutes ses autres activités sociales, dont Warren n'avait pas pris totalement conscience jusqu'à ce jour. Il ne sent pas qu'on a besoin de lui. De plus, à observer son épouse à partir du vide qui l'habite intérieurement maintenant, il se questionne à savoir ce qui lui a plu chez cette femme, pour en faire son épouse et vivre autant d'années de vie commune. Le manque d'ancrage s'accentue.

Warren décide d'aller errer en ville et lorsqu'il revient, son épouse git sur le plancher. Un avc mortel en frottant les carreaux. Ouf! Un départ viscéral trop soudain.

Abattu mais gardant sa réserve et ses automatismes, il passe au travers des étapes des funérailles; parents et amis viennent et s'en aillent.

Heureusement, cet événement lui permet de revoir sa fille unique qui habite à quelques jours de voiture de chez lui. Elle est accompagnée de son ami de cœur avec lequel elle habite. Ils lui rappellent leur mariage incessant, dans quelques semaines. Warren tente de convaincre sa fille de demeurer avec lui afin de prendre soin de lui et de la maison comme le faisait son épouse. Elle refuse en lui rappelant que sa vie est ailleurs et que le moment est venu pour lui de se prendre en mains.

Quelque peu désespéré, d'autant plus qu'il n'apprécie aucunement le petit copain, qu'il qualifie "d'incapable", jumelé au fait qu'il réalise que lui-même n'a probablement pas épousé la compagne idéale, il se met en tête de convaincre sa fille d'abandonner son idée de mariage.

De là, toute une série de péripéties, de scènes humoristiques ou désolantes, c'est selon le point de vue. (En passant, l'acteur Jack Nicholson est parfait dans ce rôle.)

Le jour du mariage, malgré toutes ses tentatives, Warren a échoué. Il s'est en plus mis sa fille à dos. Lors du banquet, les pères des mariés sont appelés à prononcer un petit discours. Le père du marié fait l'éloge de son fils, de sa belle-fille, du mariage, de l'amour et tutti quanti. Il y met de l'émotion et la transmet aux invités réunis. Warren angoisse sur sa chaise. Il abhorre ce mariage, le gendre et sa famille et se questionne à savoir ce qu'il pourra bien dire aux gens, son tour venu.

Et c'est seulement à la toute dernière minute que Warren choisit de lâcher-prise et de prononcer les mots d'usage, esquissant le sourire attendu dans ces occasions, félicitant tous et chacun pour l'heureux événement. Très beau moment de ce scénario, qui, en une fraction de seconde, transforme Warren, de personne perdante en personne gagnante. Le VIDE fait place au réalisme de la vie et à l'importance de se réapproprier son pouvoir et sa responsabilité pour sa propre vie tout en laissant l’autre faire de même pour la sienne. Le personnage passe de VIDE à PLEIN de prises de conscience à son égard et PLEIN de projets pour les années qui lui restent.

(Désolée pour ceux et celles qui auraient préféré que je ne révèle pas la fin du film, mais c'était inévitable dans le contexte de ce blogue).

samedi 1 juin 2013

Au-delà des bonnes intentions et de la volonté


Il y a quelques jours, je publiais un texte au sujet des accords toltèques établissant cinq paramètres guides permettant de nous assurer une certaine harmonie dans notre vie de tous les jours.

Ce type d'enseignement trouve un écho dans plusieurs autres du même genre - on en reçoit régulièrement par courriels - qui nous indiquent les voies à suivre pour être heureux dans la vie. "Faites ceci". "Ne faites pas cela". La plupart contiennent des lignes directrices valables souvent issues des principes enseignés à l'intérieur des cadres religieux et vulgarisés pour atteindre un plus grand public.

Les accords toltèques vont au-delà de ce type d'enseignement car ils accordent priorité à la nature intrinsèque de l'humain et à sa programmation innée de se comporter de façon prévisible lors de circonstances semblables. Ces accords attirent l'attention sur l'importance de se conscientiser au sujet des mécanismes qui nous font penser et agir et à les transformer afin de retrouver notre "centre" et à ne pas s'égarer émotionnellement lors de situations qui ne servent pas notre intégrité et notre bien-être.

Il s'agit d'une étape importante vers la réappropriation de notre pouvoir.

Or plusieurs pourront témoigner - et j'en suis - qu'ils ne sont pas arrivés à se détacher des situations, des gens, des émotions, etc. malgré leurs bonnes intentions et leur volonté extrême de transformer certains comportements de leur part. Comment cela est-il possible?

Quelques explications sont données dans le livre. En voici quelques-unes: "Parce que, où que nous allions, notre chemin est jonché d'obstacles. Tout le monde essaie de saboter notre engagement de respecter ces accords, et tout semble organisé autour de nous pour nous inciter à les rompre. Le problème vient des autres accords qui font partie du "rêve" de la planète. Ils sont vivants et très puissants."

Je comprends ce que l'auteur veut dire par ces propos, parce que j'ai lu son livre et que je peux donner un sens culturel aux mots et aux images qu'il projette. Par ailleurs, gardons-nous de penser que ce sont les autres qui nous empêchent de respecter ces accords.

Tout vient de nous et les obstacles rencontrés le sont parce qu'ils font partie de notre propre plan d'évolution. L'énergie de la Source prend les détours nécessaires pour se rendre à nous, alors évidemment, si nous n'observons qu'au niveau superficiel ce qui se passe, nous pourrons attribuer le "sabotage" ou l'empêchement aux autres.

Tout est énergie et puisque nous n'avons pas été éduqués en fonction de cette réalité, nous ne savons pas quoi faire pour avancer lorsque la résistance intérieure ou extérieure survient.

À ce moment, personnellement, j'utilise des ressources professionnelles extérieures; il y a de plus en plus de thérapeutes qui œuvrent dans différentes disciplines relatives à l'énergie et qui peuvent aider à transmuter la densité/la résistance rencontrée. Il y a aussi des sessions de formation pour les individus intéressés à apprendre les fondements de la guérison énergétique dans le but de l'appliquer sur soi. Il y a la méditation, le reiki, le toucher thérapeutique, la médiumnité (certaines formes), la massothérapie (techniques ciblées), etc.

Le discernement est fondamental dans le choix des ressources appropriées pour soi.

L'important est de persévérer et d'arriver par la pratique à se créer un nouveau monde exempt de dualité et empreint des valeurs de respect et d'harmonie qui sont les nôtres.

dimanche 26 mai 2013

Les accords toltèques dans la vie de tous les jours


"Les quatre accords toltèques" a été publié, d'abord en anglais en 1997 et puis le version française a suivi en 1999. L'auteur Don Miguel Ruiz, est un médecin chirurgien, de nationalité mexicaine, qui à la suite d'une expérience extra corporelle, a changé sa vie et s'est alors consacré à la maîtrise de la sagesse ancestrale.

Wikipedia résume très bien les quatre accords toltèques de la façon suivante: 

1)" Que votre parole soit impeccable.

Parlez avec intégrité, ne dites que ce que vous pensez vraiment. N'utilisez pas la parole contre vous-même, ni pour médire d'autrui. Utilisez la puissance de la parole dans le sens de la vérité et de l'amour.

2) Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle.

Vous n'êtes pas la cause des actes d'autrui. Ce que les autres disent et font n'est qu'une projection de leur propre réalité, de leur rêve. Lorsque vous êtes immunisé contre cela, vous n'êtes plus victime de souffrances inutiles.

3) Ne faites pas de suppositions.

Ayez le courage de poser des questions et d'exprimer vos vrais désirs. Communiquez clairement avec les autres pour éviter tristesse, malentendus et drames.

4) Faites toujours de votre mieux.

Votre "mieux" change d'instant en instant. Quelles que soient les circonstances faites simplement de votre mieux et vous éviterez de vous juger, de vous culpabiliser et d'avoir des regrets."

J'ai lu ce livre il y a quelques années et j'avais trouvé à prime abord, ces "accords" simplistes. Je cherchais quelque chose de plus frappant, de moins "ordinaire", de plus complexe, etc. pour apprendre à mieux vivre en paix avec moi-même et avec les autres. Je l'ai relu la semaine passée et j'en ai dégusté chaque page comme si la sagesse suintait à travers la simplicité des mots et du style.

Il y a déjà presque deux mois que je n'ai écrit dans ce blogue. Ce ne sont pourtant pas les idées, ni les expériences de vie qui manquent, ni d'ailleurs les prises de conscience au sujet de la Vie et de l'humain. J'ai plutôt consacré mon temps, dans les derniers mois, à participer à l'organisation d'un spectacle "d'envergure" que notre petite chorale locale a décidé de donner à la fin avril passé.

Belle expérience de créativité et de fantaisie; dynamisme et initiative au rendez-vous. Mes cellules aiment ce mouvement qui fait appel à la joie d'inventer et de participer.

En contrepartie, j'ai pu observer de très près, le comportement étrange de certains êtres humains. Contrôle ou tentative de contrôle, médisance, calomnie, sautes d'humeur, irrespect, cachoteries, manipulations, abus de pouvoir, agressivité verbale, insultes, critiques non fondées, immaturité, conflits personnels, etc. Pas tout çà chez la même personne, mais tout de même! Stupéfaction de ma part!

Je réalise que toute cette densité humaine, le côté "sombre" de l'humain que nous sommes, se manifeste ici chez moi, dans les alentours, pas très loin, chez des gens "bien", en apparence "civilisés", bien éduqués et qui occupent ou ont occupé des postes de responsabilité dans la société.

Il s'agit d'un échantillon réduit et à l'échelle locale, de ce qui se passe partout sur la planète à tous les niveaux.

Il est facile de manifester pour que les guerres cessent, pour que les abus des plus puissants sur ceux qui ne peuvent se défendre soient réduits à zéro, pour que la démocratie règne et soit appliquée autant en haut de la pyramide qu'en bas de l'échelle, mais tous ces mots et ces gestes posés dans cette optique demeurent stériles tant que nous n'appliquons pas dans notre propre vie, au quotidien, ce que nous réclamons à grands cris des autres.

J'ai été très déçue face au comportement de certaines gens et j'ai éprouvé de l'impuissance lorsque j'ai voulu trouvé des solutions. J'ai ressenti un grand désarroi lorsque des personnes plus proches de moi se sont retrouvées en conflit pour des raisons, qui pour moi, observatrice, n'en étaient pas.

C'est pourquoi j'ai repensé aux accords toltèques.

Que pouvons-nous faire dans de telles situations?

Il est d’abord important de séparer ce qui nous appartient de ce qui ne nous appartient pas et agir là où c'est possible. Nous ne pouvons pas changer les autres; nous ne pouvons que nous changer nous-mêmes. Si notre aide est demandée, apporter toute la Lumière qui nous habite et s'assurer de ne pas s'investir ni physiquement, ni émotionnellement lorsque les choses ne nous concernent pas et qu'il est clair que nous n'avons aucun rôle à jouer. Il est bien d'avoir une vision d'harmonie pour l'humanité et pour la planète, mais aucun de nous n'en porte la responsablitilé absolue; chacun a à  comprendre que c'est la somme de ce que nous sommes qui déterminent le sort de l'une et l'autre.

1) Que notre parole soit impeccable. 2) N'en faisons pas une affaire personnelle. 3) Ne faisons pas de suppositions. 4) Faisons de notre mieux.

P.S. Miguel Angel Ruiz a publé par après Le cinquième accord Toltèque, édition française 2010. Voci comment il est présenté dans Wikipedia.
" Soyez sceptique, mais apprenez à écouter.
Ne vous croyez pas vous même, ni personne d'autre. Utilisez la force du doute pour remettre en question tout ce que vous entendez : est ce vraiment la vérité ? Ecoutez l'intention qui sous-tend les mots et vous comprendrez le véritable message.

 

mardi 2 avril 2013

La mort: le voyage à rebours de la conscience vers son Essence


Il n'y a pas si longtemps, j'ai reçu un courriel d'un ami relatant un enseignement d'Annie Marquier au sujet de l'évolution de la planète. Je ne connaissais pas cette auteure, mais le sujet m'intéressant, j'ai lu le texte et j'ai tout de suite senti une connexion avec l'information qui y était présentée et avec la façon dont l'auteure initiait le lecteur à des notions de métaphysiques pratiques.

J'ai entrepris de faire une petite recherche afin de savoir qui était cette dame - qui œuvre au Québec - en psychologie transpersonnelle, en soins énergétiques et dans d'autres domaines reliés.

Ce n'est pas d'hier qu'elle publie. Je me suis procurée son premier livre Le pouvoir de choisir édité d'abord en 1991 et réédité à plusieurs reprises depuis, la version que je viens de terminer datant de 2010.

Annie Marquier traite de ce qu'elle appelle la "victimite" chez les gens, une "maladie" très répandue causée par l'ignorance de la dynamique réelle de la vie. Elle initie le lecteur au "nouveau" paradigme "responsabilité-attraction-création" afin de remédier à la victimite et avancer sur le chemin d'évolution.

Les cent première pages sont consacrées à ce thème.

Le reste du livre de 282 pages explique la métaphysique de notre réalité humaine, résumant très bien plusieurs des aspects de cette dynamique énergétique que j'esquisse "par morceaux" par l'intermédiaire de mes propres textes dans mon blogue. C'est à lire. C'est une bonne façon de s'initier à toutes ces nouvelles notions car la logique est au rendez-vous, la simplicité et la vulgarisation aussi. De mon expérience personnelle, je peux affirmer que de changer sa programmation face aux enseignements anciens issus de l'enfance, même s'ils sont insatisfaisants pour nous, provoque habituellement une résistance à l'intérieur de soi. Je ressens encore cette résistance, malgré ma profonde conviction que la route sur laquelle je suis m'est plus intéressante et gratifiante que tout ce qui était programmé en moi auparavant. Alors, quelqu'un qui veut apprendre tout en respectant son besoin de logique, même si celle-ci relève de l'invisible, peut lire en toute confiance Annie Marquier.

Je pourrais, comme il m'arrive souvent de le dire, faire ressortir, pour une raison ou une autre, plusieurs passages de son livre, mais je choisis de mettre en exergue son explication du processus de la mort. Fort bien décrit et combien intelligent!

Donc, puisqu'il m'est inutile de réinventer des mots et des phrases qui m'apparaissent déjà parfaits, je vais isoler quelques moments du texte afin que l'essentiel de l'enseignement s'y retrouve.

"Tout le monde sait qu'après ce qu'on appelle la mort, le corps physique est détruit et retourne à la matière." ... " après le départ du corps physique-éthérique, l'être continue à expérimenter dans le monde astral où, toujours muni en général de notre pleine conscience, on expérimente ce monde avec l'aide de nos corps astral, mental et causal." (ajout de ma part: on peut aussi dire corps émotionnel, mental et spirituel).

"Puis, on "meurt" au monde astral, comme on est "mort" au monde physique, c'est-à-dire, que l'on abandonne notre corps astral pour passer dans le monde mental. Et le même processus se répète à ce niveau."

"Après un certain temps d'expérience dans cette dimension, on "meurt" à notre corps mental et on passe dans le monde causal, monde du Soi. On se retrouve à ce niveau pure conscience, sans véhicule de manifestation, mais ayant un sens de notre existence d'autant plus riche que notre conscience n'est plus limitée par l'étroitesse de notre personnalité."

"Les trois corps inférieurs, physique-éthérique, astral et mental sont donc détruits l'un après l'autre après chaque incarnation, mais l'essence de l'expérience de chaque corps est enregistrée sous une forme que l'on appelle - atomes permanents - ou -atomes germes. Ces "atomes" sont des unités énergétiques spéciales, véhiculant toute l'information des expériences passées relatives aux différents corps, effectuées et enregistrées par ces différents corps. À chaque fois que nous abandonnons un de nos corps, nous emportons avec nous cet atome permanent d'information et nous arrivons ainsi au niveau du Soi munis de ces unités d'information qui s'enregistrent au sein du corps causal (corps du Soi, qui lui est immortel).

C'est ainsi que la conscience, revenue au niveau du Soi, dispose de toute l'information sur la totalité de l'expérience de la personnalité lors de son dernier passage dans les mondes inférieurs."

"Il est alors possible, et c'est alors le temps, de faire le point sur le niveau d'harmonie et de puissance énergétique acquis (les leçons de conscience qui ont été apprises) et sur ce qui reste à acquérir, pour que nos corps inférieurs ... deviennent plus réceptifs à l'Énergie divine."

" Le bilan ne se fait pas au niveau "moral", mais plutôt au niveau d'une certaine qualité énergétique. Il n'y a pas de "morale" au sens ordinaire du terme, dans l'univers. Il y a simplement des lois et des énergies qui vibrent plus ou moins harmonieusement les unes avec les autres en fonctions de ces lois."

"Lorsque le bilan énergétique a été fait (donc par là-même le bilan de conscience) et qu'il est temps de "redescendre" pour faire de nouvelles expériences dans le monde physique, nous redescendons progressivement à travers chacun des niveaux de matière, mentale, astrale, éthérique et enfin physique. À chaque niveau, nous attirons énergétiquement à nous les matériaux qui nous serviront à construire les différents corps de notre personnalité. Et ces matériaux ne sont pas attirés par hasard. Nous attirons ces matériaux de façon à nous construire des corps qui faciliteront les expériences que nous avons choisies de faire dans cette nouvelle vie."

"Dès notre naissance, nous véhiculons avec nous tout notre passé, et ceci est inscrit en potentiel énergétique dans tous nos corps."

lundi 4 mars 2013

Les enseignements se recoupent


Les enseignements se recoupent
 
Il est très intéressant de constater que plus je cherche la vérité quant à notre nature humaine et spirituelle, plus je me rends compte que l'information transmise par l'un et par l'autre, se recoupe, et ce, seulement dans la mesure où l'émetteur démontre une ouverture sans limites à ce qui peut être.

Aucun "cela devrait être comme si ou comme cela" ou "çà n'a pas de bon sens" ou "c'est trop fantaisiste, je ne peux y adhérer", mais juste une ouverture du cœur et une permission de ressentir l'essence en soi qui guide notre voie et notre éveil.

À titre d'exemple, je me réfère au livre de l'auteur Hank Wesselman, Chercheurs de visions. (Il a aussi écrit Celui qui marchait avec les esprits et Medecinemaker.) Wesselman est un anthropologue spécialisé dans la recherche portant sur l'origine de l'humanité; son terrain de prédilection, c'est l'Afrique, l'Éthiopie plus particulièrement. C'est un scientifique. À un moment de sa vie, il s'est mis à avoir des visions, des rêves révélateurs de réalités non connues, accompagnés de sensations physiques lui faisant vivre les événements qui se déroulaient. Comme scientifique, il a rapidement compris que ce qui lui arrivait ne pouvait cadrer à l'intérieur des appris académiques, mais il a choisi d'accepter cette réalité et d'accueillir l'expérience comme elle se manifestait afin de pouvoir l'observer et apprendre d'elle. Sa démarche l'amena à devenir chaman. Parallèlement et en complément à ses recherches anthropologiques, il s'orienta alors vers l'étude de l'humain spirituel et, par voie de conséquence, l'étude de la Source.

Au cours du chapitre portant comme titre Le guérisseur, Wesselman décrit une expérience de guérison chamanique qu'il a lui-même effectuée au bénéfice d'une participante à un atelier. Ici, ce ne sont pas les détails de cet exercice sur lesquels je désire porter mon attention, mais bien sur certaines réflexions du guérisseur pendant qu'il s'applique à la guérison et qui me rappelle tel autre enseignement ou telle autre révélation d'autres auteurs.

Par exemple, alors qu'il concentre son attention sur le corps énergétique de la dame, il dit: "j'essaie de localiser toutes les zones sombres obstruant le passage de l'énergie. Il m'arrive de repérer des zones anormalement brillantes qui peuvent indiquer la présence de vieilles blessures, de fuites d'énergie ou d'une hyperactivité telle une tumeur. Je suis parfois en mesure de percevoir des distorsions en passant mes mains dans le champs d'énergie de la personne à quelques centimètres au-dessus d'elle."

Dans mon texte du 24 mai 2011, dont le titre est "Les anges Xédah", j'ai dressé une vue globale des enseignements de ces entités angéliques, canalisées par Marie-Lise Labonté. J'ai eu l'occasion de consulter, à plusieurs occasions, quelques thérapeutes formés et pratiquant les approches énergétiques enseignés par les anges Xédah. Le langage utilisé par Wesselman et ses descriptions sont en conformité avec ces enseignements.

Un peu plus loin dans son texte, Wesselman poursuit son récit de cette façon: " Ma façon de procéder consiste à essayer d'extraire de telles intrusions et de les déposer dans un récipient rempli d'eau que je prépare à l'avance." Si je n'avais pas moi-même rencontré un guérisseur philippin, Révérend Alex Orbito, - j'en ai parlé (mais je n'ai pas élaboré) dans un blogue précédent - le 2 avril 2011 - (Quelques références, quelques livres), je ne suis pas certaine que j'aurais compris ce dont Wesselman parlait. De fait, mon expérience personnelle de cette étape de la guérison consiste, pour le guérisseur, à "matérialiser" l'énergie problématique, à extraire la "substance" du corps physique et à la jeter dans le récipient d'eau.

Quelques pages après, Wesselman, décrit la suite de cette façon: "mes mains s'approchèrent d'elle ... Je les passai dans le champs énergétique de la dame, à quelques centimètres de son corps , j'enfonçai mes doigts de lumière dans son thorax comme un râteau pour rassembler la masse noire qui se logeait entre les épaules ... extraire du corps de la dame des bandes et des nœuds de substance éthérée que nous déposions (il est assisté par d'autres) par la suite dans le récipient rempli d'eau. "Dans un texte publié dans ce blogue, le premier juin 2011, intitulé Les corps subtils, leur réalité, je me référais au livre de Barbara Ann Brennan, Hands of light - A Guide to Healing Through the Human Energy Field, publié en 1987. Ce livre traduit en français sous le titre Le pouvoir bénéfique des mains - Comment se soigner par les champs énergétiques a été publié en 1993. Brennan y décrit plusieurs de ses interventions de guérison et celles-ci rejoignent en essence ce que Wesselman écrit dans son livre.

Il y a d'autres endroits du livre où je décèle des ressemblances, des complémentarités, des explications à des notions déjà entrevues ailleurs. J'apprécie énormément ces "entrecroisements"; ils me rassurent quant à la voie de recherche que j'ai adoptée. Je sens que j'avance dans la mesure où mon propre ressenti m'informe que la fréquence vibratoire qui émane de l'un et de l'autre, est celle que je privilégie comme fréquence d'apprentissage et de guérison.

 

samedi 9 février 2013

Apprentissage de base pour retrouver la santé


Mes recherches, motivée en grande partie par mon instinct de survie, m'ont amenée à considérer ma vie « autrement ».
Nous sommes « énergie » et tout ce qui nous constitue est « énergie ». Nous sommes de l’énergie dans une masse d’énergie (Univers).
Nous sommes une étincelle de « lumière » dans un corps de matière. Nous sommes donc « immortels » comme entité énergétique et notre « esprit » est venu expérimenter la densité sous toutes ses formes.

Il n’y a pas de hasard et il n’y a pas de victime, malgré la dureté de certaines situations de vie.
Une des clefs les plus importantes : l’éveil de la conscience afin de devenir un humain actif dans son propre processus d’évolution. Déjà, l’éveil modifie « l’énergie » que nous sommes, donc l'éveil devient « la » porte qui ouvre à la guérison de tous les aspects de l’Être.
Tout nous affecte à différents degrés et il est important d’identifier nos pensées, nos émotions, nos réactions, nos actions, nos intentions, etc. Tout est énergie et affecte notre santé et notre bien-être.

Nous avons avantage à élever notre fréquence vibratoire ». Il se peut que « moi » personnellement, j'agisse très correctement selon mes valeurs et celles de la société, mais si dans ma vie, j’expérimente dans mes tripes, la densité de la part des autres ou des événements, c’est qu’il y a, à un niveau inconscient, chez moi, une manifestation dans l’énergie qui appelle un apprentissage d’évolution qui me concerne. Il est très important et urgent même de décoder et d’agir.

Nous sommes des êtres spirituels, des êtres physiques, mais nous sommes aussi des êtres quantiques. Nous avons la même relation avec nos cellules que l’Univers a avec nous. Microcosme versus macrocosme. Nos cellules sont des « entités vivantes »; elles sont à l’écoute de tout ce que nous vivons, pensons, ressentons.

Nous pouvons avoir une relation constructive avec nos cellules en leur transmettant de l’énergie haute en fréquence, soit l’amour pur, la gratitude, la reconnaissance. Toute cette prise de conscience et la transformation que nous apportons par la suite dans notre vie par cette pratique contribue à modifier, l’énergie cellulaire. 
Puisque nous sommes une « entité énergétique », nous sommes immortels et cette présente vie terrestre n’est pas la première que nous ayons vécue. Dès lors, dès la naissance, nous avons un « bagage » d’expériences emmagasinées au niveau de l’inconscient et bien présent dans la mémoire de nos cellules et dans notre ADN. 

Notre « RESSENTI » est notre outil le plus précieux car il est le langage de l’âme, i.e. l'information que nous transmet la masse énergétique constituée par notre bagage de vies et d’expériences.
Notre « GUIDANCE » vient en grande partie de notre ressenti et des Êtres « accompagnateurs » de l’autre côté du « voile ».
Notre « GUIDANCE » vient également des gens qui nous entourent, des événements que nous vivons.

Tout est vibratoire.

Il est très important d’identifier la programmation qui nous fait agir afin d'en « déprogrammer » les parties qui créent pour nous des densités. C’est un travail de chaque instant. C’est un témoignage d’amour pur (de respect) envers nous-mêmes et envers l’expérience de vie que nous portons. 
Il est particulièrement important de prendre conscience de la DUALITÉ qui est en nous et de celle que les autres portent, car l’une magnétise l’autre et maintient l’humanité dans un état de tension et de défensive. Nous visons l’harmonie intérieure et extérieure.
Nous ne pouvons que nous transformer nous-mêmes. Les autres ne se transformeront que s’ils le décident. Çà leur appartient, donc, et il est important de « lâcher-prise » sur tout et sur tous. Notre responsabilité est de nous enligner nous-mêmes, ainsi nous ne serons plus des acteurs de la dualité, ni dans notre société, ni en nous-mêmes, ce qui est crucial pour l’harmonie cellulaire, le message que l’on transmet à nos cellules et ce qui est aussi fondemental pour l'évolution de l'humanité. 

Les plus grandes peurs de l’humain au niveau inconscient sont les suivantes : la peur de vivre (empreintes des « vies antérieures » et des « rappels » dans cette présente vie), la peur des autres et la peur d’ÊTRE.
Dans ce dernier cas, le dilemme vient du fait, que nous ne savons pas qui nous sommes tellement les engrammes sont enfouis profondément et les programmations de la société et de l’éducation parentale, acceptées comme « normales ».
 
Alors, reprendre contact avec soi-même, se reconnaître et vivre en harmonie avec notre ESSENCE est notre ultime objectif. 

La résistance au changement de l’être humain, des sociétés et de ses institutions. étant très forte, l'ouverture d’esprit est requise.